La victime, qui venait de récupérer un transfert dans une succursale de Western Union, n’a eu aucune chance face à deux motards armés, repartis tranquillement après avoir commis leur forfait en plein jour
Un jeune homme non identifié, âgé de 18 ans environ, a été abattu de plusieurs balles mardi après-midi par deux bandits au moment où il venait de retirer dans un bureau de Western Union un modique transfert de …30 dollars.
Le drame s’est produit à l’angle de l’avenue Magloire Ambroise et de la rue Titus, à proximité de la maison de transfert.
Circulant à moto, les deux meurtriers ont fouillé les poches de la victime et emporté l’argent après lui avoir logé trois au cinq projectiles à la tête, selon des témoins interrogés sur place par Radio Kiskeya.
Au moment de l’abattre, ils ont intimé au jeune homme l’ordre de rendre une supposée arme qu’il aurait en sa possession. La réponse a été bien évidemment négative.
Les riverains croient savoir que la victime, qui habitait dans le quartier, serait un écolier.
Ce nouveau crime révoltant a donné l’opportunité à certains d’exhorter une fois de plus les autorités à mettre en place une politique de contrôle des motocyclettes, véhicules de prédilection des bandits qui s’en sont servis, ces derniers mois, pour faire remonter l’insécurité à Port-au-Prince où plusieurs familles ont été endeuillées.
Radio Kiskeya
Le drame s’est produit à l’angle de l’avenue Magloire Ambroise et de la rue Titus, à proximité de la maison de transfert.
Circulant à moto, les deux meurtriers ont fouillé les poches de la victime et emporté l’argent après lui avoir logé trois au cinq projectiles à la tête, selon des témoins interrogés sur place par Radio Kiskeya.
Au moment de l’abattre, ils ont intimé au jeune homme l’ordre de rendre une supposée arme qu’il aurait en sa possession. La réponse a été bien évidemment négative.
Les riverains croient savoir que la victime, qui habitait dans le quartier, serait un écolier.
Ce nouveau crime révoltant a donné l’opportunité à certains d’exhorter une fois de plus les autorités à mettre en place une politique de contrôle des motocyclettes, véhicules de prédilection des bandits qui s’en sont servis, ces derniers mois, pour faire remonter l’insécurité à Port-au-Prince où plusieurs familles ont été endeuillées.
Radio Kiskeya
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